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 Hydre

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Dracodard_93
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Dracodard_93


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MessageSujet: Hydre   Hydre EmptyMar 2 Juin à 12:17

3e partie : L'Hydre.

----> On arrive enfin au sujet central : on parlera de l'hydre dans la mythologie perse, mais surtout de l'Hydre de Lerne qui est dans un système de famille et qui a son récit dans les douze travaux d'Hercule.

1-Histoire de l'hydre ---> Apparition de l'Hydre dans la mythologie perse (citation du passage de sa création par Tiamat). Préciser que c'est un monstre unique (il est bien mentionné : l'hydre). Genèse détaillée dans la mythologie grecque, caractéristiques (régénération, têtes nombreuses, etc...). On ne se contentera pas de narrer mais aussi d'expliquer le plus fréquement possible.
2- L'Hydre : incarnation du furor et de la haine ----> Héra, détestant Héraclès, élève elle même l'Hydre, expliquer que c'est l'Hydre est une personnification du vice (rebondissement de la partie "monstres mythologiques"), qu'Héra ne fait que nourrir se mal en elle (élever l"Hydre est pire que "couver un serpent en son sein"). Démontrer que l'Hydre et Héraclès ont un point commun : ils partagent le "furor", Héraclès parce qu'il est capable de tuer sous le coup de la colère (tue son professeur de musique dans sa jeunesse, manque de tuer un ami qui est entré en premier dans une ville qu'ils assiegeaient, ce dernier échappant à la mort en édifiant un autel à "Héraclès vainqueur". Héraclès devant également se racheter du meurtre de ses enfants, l'Hydre, figurant dans les douze travaux expiatoires, permet à Héraclès de lutter contre ce "furor" qui apparait en ce monstre sous sa forme la plus aboutie. Préciser qu'on ne peut entièrement venir à bout de se "furor", d'où le fait que l'Hydre ait une tête immortelle et qu'en l'enterrant, Héraclès enterre ce mal au plus profond de lui même ; ce mal reste donc toujours présent et peut ressurgir néanmoins (ce qui manque d'arriver puisqu'Héraclès a failli de tuer un ami sous le coup de la colère ultérieurement).
3- Les victimes de l'Hydre : un mal qui ne se guérit pratiquement pas et qui continue à s'infiltrer ----> Mention des trois victimes principales de l'Hydre : Héraclès lui même, le centaure Chiron et Philoctète, l'ami d'Héraclès. Héraclès mourrant par la tunique de Nessos, imprégnée du sang du centaure mêlé au venin de l'Hydre (selon certaines versions, d'autres disant que c'est la semence de Nessos qui est empoisonnée, ceci dit, il sera intéressant de lui que celui qui tue avec le poison meurt par le poison), précser qu'en dépit de toutes ses qualités, Héraclès ne peut que se résoudre à la mort de par se venin (= mal) qui se répand (bucher d'Héraclès = feu purificateur ?). Chiron est un élément primordial, car sachant qu'il est le maître ayant enseigné à Esculape son art, on peut véritablement attester du potentiel destructeur du venin de l'Hydre par le fait que le centaure, malgré ses hautes connaissances, n'arrive pas à lutter contre ce mal (provoqué par une blessure accidentelle due à une flèche d'Héraclès imprégnée de venin) et préfère renoncer à l'immortalité plutôt qu'endurer ce fléau (ce qui témoigne une fois de plus de la puissance de ce venin, puisque chez les Grecs, vouloir mourrir et renoncer à la lumière du soleil est pire que tout, or, ce venin de l'hydre semble être au-delà de cela). Enfin, Philoctète sera un exemple de chatiment divin/fléau du monstre : il se pique en effet avec une flèche au pied (pied qui avait indiqué le lieu du bucher d'Héraclès alors que le demi-dieu le lui avait formellement fait jurer de ne jamais révéler l'emplacement) : il devra supporter dix ans de souffrance. Nous avons un exemple paralèle des serpents envoyès par Poséidon pour faire taire Lacoon, bien que si le dieu est "bienveillant", le chatiment par la voie du monstre garde bien son empreinte maléfique.

----> Ces deux dernières sous parties sont intéressantes dans la mesure où elles développent deux caractéristiques de l'Hydre : les têtes multiples correspondant au furor, le venin correspondant au fléau, au mensonge qui s'insinue partout, progresse et corrompt.
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Dracodard_93
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MessageSujet: Re: Hydre   Hydre EmptyJeu 4 Juin à 16:30

L'Hydre, à l'instar de ses congénères, tels le Lion de Némée ou la Chimère, ravageait la contrée dans laquelle elle résidait, dévorant les troupeau et détruisant les récoltes. On a donc bien la manifestation du désordre, par cette ascendance du milieu sauvage sur le domaine civilisé : de ce fait, l'Hydre se comporte bien comme les monstres destructeurs, les « grands serpents » comme le gardien de la Toison d'or ou Python, qui apportent un bouleversement menaçant l'équilibre instauré. Ce détail confirme donc que l'Hydre est d'abord bien une championne du chaos qui perpétue l'œuvre de son père en ébranlant le monde des mortels, mais aussi qu'elle possède bien les caractéristiques du serpent à l'immense taille en étant source de terreur et de destruction. Quant à son lien avec la forme multiple, il nous est révélé par ses nombreuses têtes qui font la particularité même de l'Hydre parmi les monstres mythologiques, ce qui n'est nullement étranger au tourment et à la folie que colportent les Errinyes et les Gorgones.
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Dracodard_93
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MessageSujet: Re: Hydre   Hydre EmptyJeu 4 Juin à 16:38

L’HYDRE : UN FRAGMENT DE TYPHEE


















L’Hydre possède une place attitrée dans la hiérarchie des monstres : cela s’explique particulièrement par le fait qu’elle a été engendrée par Typhée en personne, le fléau des dieux. En tant que digne représentante de son père, elle possède par conséquent un potentiel destructeur redoutable, ce qui explique que peu de monde ose s’aventurer dans son territoire : les marais de Lerne.

L’Hydre est incluse dans une vaste fratrie de monstres, qui sont également des descendants directs de Typhée, et possèdent en outre des facultés exceptionnelles, comme celle du Lion de Némée dont la peau est invulnérable, ou la Chimère au souffle ardent et au triples têtes différentes. Tous ont entre autre la caractéristique commune d’habiter des lieux sauvages et désolés, qu’ils ont imprégné de la marque du chaos : de même que le citoyen grec est rattaché à la polis, la cité, de même le monstre mythologique est-il en harmonie avec son environnement qu’il a modelé à son image, ou mieux encore, c’est peut-être le milieu lui-même était déjà l’image de la créature. En effet, on peut émettre l’hypothèse selon laquelle l’entité chaotique a corrompu le lieu dans lequel elle demeure, mais il est également fort possible que ce même lieu était de nature chaotique à l’origine. Ainsi, il sera judicieux de s’interroger si les marais de Lerne ont été transformés en contrée stérile de part la présence du monstre où si ils étaient dès le départ destinés à recevoir ce dernier.

En outre, l’Hydre est sans doute le monstre mythologique qui possède le plus de facultés exceptionnelles, dues sans doutes à son appartenance très prononcée à la forme du serpent qui a été scrupuleusement détaillée dans le chapitre précédent : venin, régénération, têtes multiples, tout cela couplé à un aspect maléfique qui marque son lien avec le redoutable Typhée.

L’Hydre est par conséquent une entité chaotique qui perpétue l’œuvre de son père en marquant le monde des mortels de son empreinte de désolation et de perdition. Nous verrons par la suite qu’elle dispose d’une capacité redoutable : celle de corrompre pour mener à la destruction.















I – LA GENESE DE L’HYDRE


• Origine

L’Hydre apparaît la première fois dans la mythologie perse. Elle est crée par la déesse Tiamat, divinité originelle appartenant à la plus ancienne génération des déités, avec son époux Apsu, et régnant sur les eaux salées (Apsu régnant sur les eaux douces), et entre autre, sur les enfers, nommés Hourbour chez les perses.

Cette ancienne génération de dieux va donner naissance à une nouvelle, dont l’agitation ne va pas tarder à exaspérer Apsu qui, voulant retrouver le calme, va entreprendre de se débarrasser de cette descendance encombrante. Sa puissance était certes importante, mais il est vaincu par le dieu de la sagesse et de la ruse : Ea, ce dernier endormant Apsu grâce à un ingénieux stratagème et en le décapitant par la suite. Ce procédé est certes très parallèle à celui de la mythologie grecque : on a en effet la naissance du premier antagonisme, celui entre l’ancienne génération et la nouvelle, amenant au premier acte sanglant, Ea tranchant la tête d’Apsu ou Cronos mutilant son père Ouranos.

Ea donnera par la suite naissance à un dieu considéré comme le plus puissant : Mardouk, qui deviendra par la suite le roi des divinités, à l’instar de Zeus, même si l’on peut noter une certaine différence : Ea et Mardouk ne seront pas en conflit.

Cependant, la mort d’Absou provoqua la colère de Tiamat, et celle-ci envisagera donc de venger son époux en éradiquant les autres dieux. C’est à partir de cet épisode que naissent les monstres, crées par la déesse originelle, et parmi eux, l’hydre :

« La Mère du Hourbour, qui crée toute forme,
Fît de surcroît des armes irrésistibles, elle enfanta des serpents-géants,
Aux dents aiguës, aux mâchoires impitoyables ;
De venin, au lieu de sang, elle remplit leur corps ;
Elle vêtit d’épouvante des dragons furieux,
Les chargea de splendeur et les fit pareils aux dieux :
« Que qui les voit de saisissement s’évanouisse,
Et lorsque eux même se ruent, qu’ils ne reculent pas »
Elle fit surgir l’Hydre, le dragon sauvage et Lahamur,
Les grands lions, les chiens écumants et l’homme-scorpion,
Les agressifs démons-tempêtes, l’homme-poisson et le bison,
Porteurs d’armes impitoyables et sans peur au combat […]
En outre donc, elle créa onze monstres à la place d’Apsu. »

Cette première apparition des monstres est en outre accompagnée d’une atmosphère chaotique dans laquelle réapparaissent une fois de plus terreur et destruction (mâchoires impitoyables, vêtir d’épouvante, de saisissement s’évanouisse, armes impitoyables). Nous avons donc là une première confrontation avec le désordre, la monstruosité, qui menace un équilibre, celui établi par les dieux de la nouvelle génération, cela se confirme en particulier par la présence d’Ea, dieu de la sagesse et de la ruse qui semble bien être le précurseur d’Athéna. L’Hydre, en tant que monstre mythologique, est avant tout engendrée par un désir de vengeance, d’un acte sanguinaire et haineux. Ce principe de la graine d’antagonisme qui est responsable de l’arrivée des monstres mais qui a été cultivée par les dieux eux-mêmes a été expliqué suffisamment en détail dans le premier chapitre pour que nous nous dispensions de revenir sur le sujet.

Dans la mythologie perse, l’Hydre, ainsi que sa « fratrie », combat les dieux eux-mêmes sous les ordres de Tiamat, tandis que les grecs ne la présentent que dans le monde des mortels. La déesse originelle et les monstres qu’elle a crée seront vaincu par le souverain des dieux Mardouk : on peut une fois de plus remarquer un parallélisme avec Zeus combattant Typhée. Tout est-il que l’Hydre paraît dans les deux cas comme l’héritière d’un grand fléau, Tiamat ou Typhée, qui sont réciproquement, dans la mythologie perse ou grecque, mère ou père des créatures chaotiques.


• Histoire

La familiarité de l’Hydre avec le serpent est très prononcée dans la mythologie grecque : elle naît en effet de l’union de Typhée, aux diverses têtes de reptiles, et d’Echidna « la Vipère » dont le corps est une queue de serpent à partir de la ceinture. C’est sans aucun doute le monstre qui revendique le plus cette appartenance à la gente rampante par rapport à ses frères : Cerbère, Chimère, le Lion de Némée…

Il faut également remarquer que l’Hydre se caractérise dans la mythologie grecque par son statut qui lui vaut d’être un monstre unique : l’Atrahasis mentionne bien « l’Hydre », et non « les hydres », à l’instar du « dragon Lahamur » qui revendique une identité en étant doté d’un nom. Cela marque également une opposition avec les monstres qui forment un clan comme les « démons-tempêtes » ou les « chiens écumants » et implique donc une hiérarchie : ceux qui sont capables de combattre seul de par leur puissance élevée, et ceux qui, moins redoutables, doivent compenser en agissant en groupe. On a également cette opposition chez les Grecs avec l’Hydre, Cerbère, etc… d’un côté, et les Centaures, les oiseaux de Stymphale de l’autre. Ainsi, l’Hydre confirme le fait qu’elle est un pur fragment de Typhée, l’un des monstres les plus dangereux qui soient.

En outre, si la naissance de l’Hydre est bien d’origine entièrement monstrueuse, on s’aperçoit avec étonnement que celle-ci a pourtant été élevée par Héra, une déesse olympienne, près de la source Amymoné. Mais cet épisode de « l’enfance » de l’Hydre est des plus intéressants, car il symbolise l’élevage du nid de serpent : en effet, Héra a élevé l’Hydre pour l’opposer à Héraclès qu’elle avait pris en haine (à cause de sa naissance due à une infidélité de Zeus). Nous avons alors le même schéma en ce qui concerne l’enfance de l’Hydre que celui de son père Typhée, c'est-à-dire qu’elle grandit grâce à l’antagonisme, un conflit entre dieux (Héra envers Héraclès et, indirectement, Zeus) : elle est bien une graine issue d’une tension qui va en plus alimenter davantage celle-ci, c’est en effet ce qui s’accompli puisqu’Héra veille à ce que l’Hydre se développe et soit capable de terrasser Héraclès. On a véritablement le sens propre de l’expression « abriter un serpent en son sein » : car l’Hydre devient véritablement la manifestation des déchirements qui se glissent chez les dieux. Difficile en effet de dire si le désir de vengeance d’Héra alimente l’Hydre ou si c’est au contraire cette dernière qui attise la rancœur de la déesse : tout est-il qu’il y a comme un échange entre ces deux entités, l’une étant divine, l’autre monstrueuse. Malheureusement, c’est un échange dangereux ; nous avions parlé, dans la deuxième partie, d’un pacte entre dieux et monstres, comme Porcé et Chariboea se mouvant aux appels d’Athéna, or, cet accord, malgré la puissance destructrice déployées par les créatures, gardait une ouverture bénéfique, d’autant plus que la déesse reste alors maître de sa pensée, marquant par conséquent un équilibre dans l’alliance. Ce n’est nullement le cas dans le pacte Héra-Hydre, qui présente un objectif malsain et marque par la même instance un désaccord entre les dieux eux-mêmes, la déesse agissant à l’encontre de Zeus (alors que dans l’épisode des deux serpents étouffant Laocoon, aucun dieux ne semble manifester un désaccord envers l’acte d’Athéna). Ainsi, cette alliance se fait à l’avantage de la famille des monstres, qui marque son empreinte sur le plan des mortels, mais aussi parmi les dieux eux-mêmes, puisque nous avons alors un antagonisme entre la mère et le père des dieux (Héra et Zeus).

Dans la mythologie grecque, l’Hydre s’oppose donc au héros Héraclès sur le plan des mortels, contrairement à la mythologie perse qui la montre combattant ouvertement les dieux. Mais nous avons toujours cette semence d’antagonisme qui prolifère et menace l’ordre établit en souillant le monde des hommes, mais aussi l’harmonie entre les dieux eux-mêmes, qui ne sera sauvée uniquement quand Héraclès triomphera de ses épreuves dont l’Hydre fait partie.

















II – L’HYDRE : UN MONSTRE AUX DIVERSE CARACTERISTIQUES


• Aspect

Nous avions parlé de grandeur et de multiplicité chez le serpent maléfique, la première s’apparentant à l’image d’un destructeur, et la deuxième représentant le tourment. Généralement, les monstres mythologiques, lorsqu’ils se rattachent au serpent, optent pour l’une des deux formes, excluant l’autre par la même instance. Or, certaines entités maléfiques parviennent à cumuler ces deux aspects, bien qu’elles soient rares : nous avons en premier lieu Typhée, ce qui reste absolument compréhensible de part son statut de père des monstres, mais aussi l’Hydre, cette dernière ayant hérité de son prédécesseur de cette double forme.

De ce fait, l’Hydre possède alors un statut hybride : sa place parmi les monstres les plus puissants et les plus redoutés n’est donc pas usurpé, car elle regroupe tourment et destruction dans la même entité. C’est évidemment un rôle qu’elle se doit d’assumer en tant que « fragment de Typhée », et elle aura par conséquent un rôle plus complexe que simple travail à exécuter par Héraclès pour le compte d’Eurysthée.

Les versions diffèrent quant au nombre de têtes que possède l’Hydre : cinq, six, sept, neuf, ou douze selon les auteurs, parfois même cents . Parfois même, il était dit que ces têtes étaient humaines, mais cela est dû à une interprétation évhémériste qui prétendait qu’Héraclès avait en fait combattu Lernos, le roi du pays dont la ville se nommais Hydra : cette dernière était entourée de cinquante archers, et quand l’un tombait, un autre lui succédait immédiatement. Une autre interprétation comparait l’Hydre au marais qu’Héraclès devait assécher et dont les sources diverses réussissaient sans cesse à filtrer.

L'Hydre, à l'instar de ses congénères, tels le Lion de Némée ou la Chimère, ravageait la contrée dans laquelle elle résidait, dévorant les troupeaux et détruisant les récoltes. On a donc bien la manifestation du désordre, par cette ascendance du milieu sauvage sur le domaine civilisé : de ce fait, l'Hydre se comporte bien comme les monstres destructeurs, les « grands serpents » comme le gardien de la Toison d'or ou Python, qui apportent un bouleversement menaçant l'équilibre instauré. Ce détail confirme donc que l'Hydre est d'abord bien une championne du chaos qui perpétue l'œuvre de son père en ébranlant le monde des mortels, mais aussi qu'elle possède bien les caractéristiques du serpent à l'immense taille en étant source de terreur et de destruction. Quant à son lien avec la forme multiple, il nous est révélé par ses nombreuses têtes qui font la particularité même de l'Hydre parmi les monstres mythologiques, ce qui n'est nullement étranger au tourment et à la folie que colportent les Errinyes et les Gorgones.
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