Koganstolin

Bonjour à vous, j'ai posté cette fic sur quelques forums mais je n'ai pas eu de commentaires construits, comme je sais qu'ici il y a Tornado, Dracodardard voire Kalista, je vais la poster.

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Je suis ici pour vous relater l’histoire d’une jeune guerrière. Une jeune fille qui n’avait rien de différent des autres. Mais c’est elle qu’ « il » a choisi.
C’était un soir d’hiver, la jeune fille était dans sa chambre, elle écoutait le dernier titre d’un chanteur à la mode. Cette jeune fille n’avait rien de particulier, c’ était une adolescente comme les autres. Elle était brune avec des yeux noisettes, elle n’était pas particulièrement belle, mais malgré tout elle était sans cesse joyeuse. Elle se contentait de ce qu’elle avait, mais de plus elle appréciait cela. Mais maintenant il est temps pour elle d’apprendre les réelles valeur de la vie.
Sa mère l’appella :
- « A table » ! cria-t-elle.
- « J’arrive ... » rétorqua-t-elle d’une voie lasse.
Ce soir là, elle n’était pas d’humeur joyeuse. L’atmosphère habituelle de la joyeuse maisonnée, n’était vraiment pas très gaie ce jour-là.
Sa mère lui dit, une fois qu’elle fut arrivée à table :
- « Chérie, ... J’ai quelque chose à t’annoncer. »
La jeune fille commença à comprendre pourquoi l’ambiance était si maussade. Ce n’était pas dans l’habitude de sa mère de lui parler de cette façon ... Elle avait une mauvaise nouvelle à lui annoncer.
- « Moi et ton père avons décidé de déménager. Tu changeras de collège, et tu ne pourras plus voir tes amies. »
La terrible nouvelle s’écrasa sur Ophélia telle un coup de masse. La pauvre adolescente ne comprenait pas réellement ce qui lui arrivait, elle était née dans cette ville et avait y avait fait toute sa scolarité ... Totalement abattue, elle retint ses larmes et partit dans sa chambre, lorsque son frère déboula dans l’énorme salon ...
« Qu’est-ce qu’il se passe ?! Hein hein ? » hurla-t-il.
- « Nous allons déménager », rétorqua sa mère comme si cela n’avait aucune importance.
L’enfant, lui, n’arriva pas à contenir ses larmes et repartit aussi vite qu’il était venu, en larme.
Le lendemain matin, elle alla au collège en traînant les pieds. Elle devait annoncer la nouvelle à ses amies, c’était la dernière fois qu’elle mettait les pieds dans ce collège qui lui était si cher et qu’elle fréquentait depuis la sixième.
Une fois arrivée dans la cour de l’établissement, elle aperçu sa meilleure amie. Elle se dirigea vers elle, avec un sourire forcé. Sa camarade comprit aussitôt que quelque chose n’allait pas ...
- « Bonjour » dit Ophélia timidement.
- « Bonjour » lui répondit Margaux froidement.
- « Comment vas-tu ? » demanda Ophélia.
- « Je vais très bien ... Mais toi tu n’as pas l’air très bien, tu as une mauvaise mine ... ce n’est pas dans tes habitudes ! »
- « Oui ... J’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer ... » dit Ophélia à son amie d’une voix éteinte.
- « Oh ... Je m’en doutais, quand j’ai vu ton air tout à l’heure ... Quelle est cette mauvaise nouvelle ? » demanda Margaux fébrile.
- « ... mes parents ont décidé de déménager ... et je ... je ne pourrai plus te voir. Ni toi ni les autres. »
Et c’est à ce moment là que tout commença ...

Voilà, en espèrant que ma fic ne sera pas déchirée et brûlée. :/

Indigo Angel a écrit:

Bonjour à vous, j'ai posté cette fic sur quelques forums mais je n'ai pas eu de commentaires construits, comme je sais qu'ici il y a Tornado, Dracocard voire Kalista, je vais la poster.

Ca veut dire quoi ca xD.
Eh bien, la fic est pas mal, mais peut etre le chapitre est il un peu court. On verra avec la suite.
Je suis Kalista, la bete Krosianne... Tremblez devant mon poing !

Avant de commenter la fic :

Dis donc, ça t'amuse de mettre "pathétique" quand je me présente !?! Tu veux que je m'énerve sur ta fic ou quoi?

Ouf, ça fait du bien...

Bon, maintenant, on peut y aller :

Pour le début, il n' y pas grand chose à dire, étant donné que le chapitre est très court. Je remarque plutôt des erreurs sur le plan de l'écriture :

1) Trop de "mais" dans le premier paragraphe, tu peux varier avec "cependant", "or", "pourtant"...
2) Le nom de la fille aurait pû être mis au premier paragraphe, lorsque tu dis "La terrible nouvelle s’écrasa sur Ophélia ", c'est un peu cassant dans le récit.
3)Après, tu écris "« Bonjour » lui répondit Margaux froidement". "froidement" n'est pas du tout adapté, car on a l'impression qu'elle fait carrément la tête à Ophélia (et je dis tête pour rester poli) : "interloquée", par exemple, serait plus adopté.
4) je crois qu'il faut écrire comme cela : Margot.

Sinon, c'est plutôt pathétique, dans l'ensemble.

--> je plaisante.

Kalista -->"voire Kalista" : c'est normal, il a dû lire ta fic ... je plaisante encore.

J'ai pas grand-chose à dire de plus que Dracodard, à part que "Margaux" existe aussi avec cette orthographe, donc pas de problème là-dessus.

Kalista : Je sais que c'est très court. Ce n'est que ma première fic, ce n'est pas vraiment réfléchi, j'ai fait ça rapidement.

Draco : Je préfèrais ce prénom écrit avec cet orthographe.

Merci à vous. ^^

Et j'oubliais : Dracocard, je me suis trompé de topic. Le " pathétique " ne t'était pas destiné.

Le titre est nul ... Mais j'ai rien trouvé de mieux.

J'hésite à poster les 3 autres chapitres.

Comme je n'aime pas faire les choses à moitié, je poste la suite.

CHAPITRE 2 : rencontre étonnante.
Après une dure journée de collège, Ophélia quitta l’enceinte de cet établissement auquel elle tenait tant. Elle sortit de l’imposant bâtiment et couru, sans se retourner, vers chez elle. Elle retrouva des ruines, la maison avait été démolie. Et au loin elle aperçu une voiture. Plus précisément un break familial. La voiture de ses parents. Cette voiture s’éloignait. Elle devint un point au loin, puis elle disparut. Ophélia restait là, devant les décombres de ce qui fût sa maison. Soudain, une pierre bougea, ... puis une autre. Et, irréellement, un homme apparut derrière un bloc de pierre. Cet homme était vêtu d’une cape noir. On ne pouvait pas lui donner d’âge. On aurait dit qu’il n’étais pas humain. On ne distinguait pas grand-chose de lui, il avait une capuche, on voyait une partie de son visage et quelques cheveux d’un gris métallique dépassaient. Ophélia, terrorisée ne bougea pas d’un pouce. Elle resta figé devant cet étrange personnage. La mystérieuse créature enleva sa capuche, et fit découvrir son visage à la jeune fille. Il arbora un sourire satisfait et lui annonça :
« Tu es maintenant ... sous ma responsabilité. »
Ophélia dévisageait l’homme, et il enchaîna :
- « Je suis ... Lui. »
L’homme vit la mine déconfite d’Ophélia et lui expliqua :
« Je suis le destin. L’univers, le monde. Et ce que vous appellez « dieu ».
Ophélia était sceptique au début. Mais cela ne dura pas. Quand elle put voir tous les traits de la chose à quoi elle avait à faire, elle comprit que ce n’était pas humain. Son visage était du même gris métallisé que ses cheveux, son nez était quasi-inexistant et ses yeux était tout aussi gris que ses cheveux et son visage. Alors Ophélia lui dit :
- « Que ... faîtes-vous ici ? »
- « Tu es la personne que j’ai choisi. »
- « Mais ... pourquoi ?! »
- « Tu le découvriras bien assez tôt ... »
Sur ces paroles, la créature s’en alla dans la brume.
Une fois que la créature fût hors de vue, la brume se dissipa. Un break familial apparaîssait au loin et la maison était encore là.
La mère de l’adolescente sortit en trombe de la voiture et hurla à Ophélia :
- « Dépêche-toi, prends tes dernières affaires, on y va ! »
Ophélia lui lança un vague « OK » et rentra dans la maison.
Quelques minutes plus tard elle en sortit accompagnée d’une valise et d’un sac à dos. Elle déposa ses affaires dans le coffre de la voiture, monta dans la voiture et demanda à sa mère :
- « Où allons-nous ? »
- « Tu verras. » lui répondit froidement sa mère.
Pendant le voyage, Ophélia réfléchit à la mystérieuse rencontre qu’elle avait faite.
Elle se dit qu’elle avait sûrement halluciné ... Mais cela lui paraissait tellement réel !
Elle s’endormit. Elle se fit réveillée, elle ouvrit les yeux et « il » était là.
Elle hurla, un hurlement à vous glacer le sang, un hurlement strident. Et tout d’un coup ce fût le visage de sa mère qui apparu devant ses yeux ébahis.
- « Non mais tu es dingue de hurler comme ça ?! ... »
- « Mais maman ... »
- « Il n’y a pas de mais ! » rétorqua-t-elle.
Ophélia regarda autour d’elle et comprit qu’elle était dans une station service. Sa mère s’était arrêtée pour se ravitailler en essence. Elle retomba lourdement sur son siège, et sa mère reprit le volant. Elle regarda à sa gauche et elle le vit. « Il » était encore là. Il lui fit un signe de la main et lui dit :
« Nous nous reverrons ... »